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INSTALLATION
Réveil géométrique ; les formes m'informent ; l'eau, la terre se rencontrent.
Evolution/Révolution
De la base au sommet, triangle
Idées. Réflexion...Mémoires...
De la base au sommet, triangle
Idées. Réflexion...Mémoires...
Majesté et symétrie.
Pureté des lignes, force du symbole,
L'infini en mouvement, immobile.
Je commence à comprendre, je maitrise peu à peu...
Le feu m'envahit... Me transperce...
BRAVO pour votre travail.
RépondreSupprimerLes sculptures sont magnifiques et la poésie est très sensible.
Estér
" ordo ab chao "
RépondreSupprimer" Que dire de plus, que faire de mieux? " Régis
RépondreSupprimerMerveilleuse sculpture,si simple et si complexe à la fois,aboutie...
RépondreSupprimerElle me ramène à l'Alpha et l'Omega,le commencement et la fin...
Ma préférée,en fait!...
Catherine
Quelle abstraction magique !... de la stabilité au mouvement, des couleurs à la transparence. On sent ce feu de la vie. Merci.
RépondreSupprimerJ'associe cette poésie à la sculpture n° 8.
RépondreSupprimerUne cyber-artiste réactive à un blog attractif pur et simple. LEA
Joyaux ensevelis, fermés sur leurs secrets, qui dorment, loin de nos yeux, leur sommeil de blocs invulérables, les poèmes que nous savons par coeur gardent pour nos regards futurs des éclats insoupçonnés pour le philosophe Gaetan Picon.
RépondreSupprimerPaul VALERY a écrit que "certains prétendent qu'il existe une relation immédiate et comme symétrique entre la main de l'homme et son cerveau.
RépondreSupprimerN'oubliez même pas les peines et les merveilles de l'art d'écrire notre langue, la seule dans laquelle subsiste encore un peu le souci de peser les mots, d'ordonner les pensées, d'accuser les formes du discours, comme si nous étions encore à l'époque fabuleuse où les esprits étaient sensibles et où le temps ne comptait pas...."
Jean
Laissons la place au poète Charles CROS :
RépondreSupprimer" J'ai voulu que les tons,la grâce,
Tout ce que reflète une glace,
L'ivresse d'un bal d'Opéra,
Les soirs de rubis, l'ombre verte
Je l'ai voulu, cela sera."
L’art est un passage que nous offre des gens rares et complètement altruistes j’ai nommé : les artistes .
RépondreSupprimerEn effet sans eux nous serions condamner à n’être que de simples contemplateurs du quotidien sans l’espoir d’une ouverture vers l’infini et l’au-delà , l’imaginaire . Sans eux pas de conscience collective et encore moins d’éveil de la conscience individuelle .Leurs œuvres sont autant de portes qui ouvrent vers des mondes inaccessibles au néophyte .
Ces mondes sont faits de rêves , d’émotions , de voyages , d’aventures extraordinaires mais aussi intérieures . Ils nous permettent de nous souvenir , de nous projeter , de nous construire et de nous remettre en question .
La littérature , comme tous les arts est capable de nous ouvrir tous les passages , encore faut il que le néophyte soit pourvu d’un minimum d’imagination , car le passage offert reste un passage , encore faut il le franchir et savoir aller au delà , une partie du chemin reste à notre initiative . Seul le septième art sait nous emmener du point A au point B , pour nous laisser à la sorite avec nos émotions et déjà des souvenirs . La littérature nécessite davantage d’engagement ..
La biographie nous fait pénétrer l’âme des grands , le roman policier nous ballade du suspens à l’effroi , le roman d’amour , ah ! l’amour ! quel frisson….le roman historique pour se souvenir ou s’enraciner…les essais car tout n’est pas toujours possible spontanément…..
La poésie , métaphore de la vie , déambulation et à la fois guide vers le lâcher prise , vers l’intime et l’universel , ce passage peut être parfois un peu difficile d’accès pour les plus prosaïques d’entre nous …
La peinture , du contemporain au figuratif , l’imagination et l’envie peuvent être parfois indispensables . La pomme de Magritte qui n’en est pas une et le grand bleu de Miro peuvent , je le reconnais , remettre en cause certaines de nos références , indispensable remède au conformisme .
La sculpture : qui a dit que le cinéma avait inventé la 3D ? l’enlèvement de Daphnée par Apollon œuvre du Bernin est une véritable scène à elle seule : on y vit la tragédie , le romantisme et la superbe beauté des acteurs , en étant là juste à côté d’eux . Le baiser de Brancusi , nous donne simplement le courage d’aller de suite se découvrir à son amoureux (se) et de lui plaquer nos lèvres contre les siennes sans jamais plus vouloir s’en décoller….Et quand certaines sculptures en plus de nous offrir la 3D , nous propose un passage dans le passage , de traverser leur translucidité pour aller vers des voyages colorés , ou plus objectivement nous apprendre à passer au travers des tumultes qui nous ravagent à l’extérieur du passage , juste avant la porte .
La musique , pour moi elle va de U2 à Mozart , ce passage peut s’ouvrir en tout lieu à tout moment on peut même choisir sa destination , comme on peut se laisser emmener , en toute confiance , puisqu’elle nous ramène là d’où nous sommes partis. Elle nous laisse non pas avec des souvenirs mais une âme allégées de ses courbatures , désendolorie .
Pacsale
Je joue 5 avec "silence".
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